Cette dénomination correspond aux zones adjacentes aux sites protégés, dont les communautés résidantes ou voisines peuvent utiliser les ressources naturelles dans les conditions définies de conservation et de gestion.

L'objectif principal est de permettre l'élargissement de la biodiversité du noyau central et de le protéger de l'exploitation humaine et de la dégradation.

La participation des populations locales à la gestion des réserves permet de les responsabiliser et de faciliter le réglement des conflits.

Ceci nécessite un réel processus de démocratisation participative qui passe par une volonté politique et des moyens financiers.

Ex. La station écologique du Béni de San Borja en Bolivie

Zones tampons: adjacentes aux sites protégés, dont les communautés résidantes ou voisines peuvent utiliser les ressources naturelles dans des conditions définies de conservation et de gestion. Parfois appelées aussi des zones à objectifs intégrés. Cette utilisation ne va pas à l'encontre des objectifs de la zone protégée et comporte des avantages pour la population locale. Etablir des zones tampons élargit la biodiversité du noyau central et le protège de l'exploitation humaine et de la dégradation (Lusigi, 1981 et MacKinnon, 1981, cité dans MacKinnon et al, 1986).